Dans un sport riche en idoles, il faut avoir quelque chose de spécial pour devenir une légende absolue. Après dix années passées à jouer les premiers rôles sur les plus grandes scènes du Monde, le Teammachine se distingue une nouvelle fois du peloton. Ce n’est pas avec une seule victoire que l’on devient un emblème. Pour devenir immortel dans l’histoire du sport, il faut collectionner les triomphes, se montrer persévérant sur la durée et dans différentes conditions.
Le Teammachine remplit tous ces critères.
Année après année, en tête du Tour de France, des Jeux olympiques, des Championnats du Monde, de toutes les Classiques... Cette réussite est tout sauf accidentelle. La flamme continue à brûler.
“Certaines équipes ont de bons vélos. J’en ai d’excellents depuis 2010.”
Cadel Evans, vainqueur du Tour de France 2011
Alliance innovante entre une souplesse ajustée qui a pris le monde du cyclisme par surprise et un rapport entre rigidité et poids inégalé, le Teammachine SLR V1 a fait ses débuts en 2010. "J’ai toujours affirmé que la souplesse est un élément important, mais c’est là qu’elle a vraiment compté... Ce qui m’a le plus surpris, c’était de regarder nombre de mes concurrents être obligés de se lever de selle sur les sections difficiles de route, tandis que nous pouvions rester confortablement assis et pédaler, même sur les dernières étapes de la course. La souplesse est ce qui nous a permis de rester frais pour la partie finale des courses." – Cadel Evans "Je me donnais 5 % de chance. Sur une [course] comme celle-ci, on doit être très chanceux pour gagner... Je ne vais pas prétendre que j’étais le plus fort de la course." Van Avermaet s’est battu sans relâche toute la journée, il s’est hissé en tête du peloton après les montées, il arrive à faire un dernier effort pour rattraper Rafal Majka... Ça se joue entre Majka, Fuglsang et Van Avertmaet, alors que la distance avec la ligne d’arrivée se réduit... GVA lance son sprint! Les autres ne peuvent pas réagir. Le public de Rio explose alors que Van Avermaet franchit la ligne d’arrivée. Après avoir remporté Paris-Roubaix et une autre longue étape sur le Tour avec le maillot jaune en 2018, le troisième Teammachine SLR confirme son statut de titan de la route. Avec notre technologie ACE exclusive pour veiller à pousser les performances et l’expérience au-delà de tout ce qui existait déjà et obtenir le vélo le plus léger qui soit, l’Impec Lab et les ingénieurs de BMC sont fiers à juste titre. Le BMC Racing Team l’adore. Des ajustements subtils visant à améliorer les capacités du vélo en conditions réelles sont apportés, comme la reconception des biellettes au niveau des bases arrières, pour apporter plus de stabilité dans les virages à grande vitesse. À ce stade, aucun détail n’est à négliger. "En 2010, c’était une révélation. Il devenait meilleur à mesure que les routes devenaient plus longues et plus difficiles. Et aujourd’hui, il a accompli tellement de progrès: toujours plus léger, toujours aussi souple, et toujours doté des mêmes qualités de poids-rigidité-réactivité. J’ai hâte de voir ce que nous verrons dans les 10 prochaines années." - Cadel Evans Malgré l’arrivée de nouveaux cyclistes et maillots, la philosophie qui anime le Teammachine reste inébranlable: un vélo de course, sans compromis, capable d’accomplir l’invraisemblable. Cette philosophie est devenue un processus. Notre équipe de Granges (Suisse) recueille les avis des cyclistes du team professionnel et des mécaniciens ainsi que d’autres esprits avertis du secteur pour savoir comment continuer à améliorer ses vélos déjà si performants à l’échelle mondiale. Des solutions sont envisagées, des prototypes sont réalisés et soigneusement testés; et le cycle se poursuit.Le mot du Team
Avec de belles victoires dès sa première saison remportées par Cadel Evans et son maillot arc-en-ciel notamment, le nouvel étendard de BMC se révéle vite à la hauteur de ses promesses. De l’attaque mortelle de l’Australien sur le Mur de Huy pour doubler Purito et Contador à sa démonstration de force sur la 7e étape du Giro, qu’il avait terminée couvert de boue blanche sur les Strade Bianche, peu de doute subsiste quant à la capacité de ce vélo à exceller dans toutes les conditions. C’est sur ce vélo qu’Evans a également accompli son plus bel effort au Tour de France.
Une année plus tard, Philippe Gilbert obtient la médaille d’or aux Championnats du Monde, et le destin prééminent du Teammachine est scellé. Sur trois semaines ou sur une journée, à plat ou en montagne, sous la pluie ou le soleil, ce vélo est indéniablement l’outil idéal pour gagner.Faire tourner la chance
Greg Van Avermaet, Champion Olympique 2016
La médaille d’or olympique de Greg Van Avermaet avec le Teammachine SLR V2 apporte la preuve que la génération suivante n’est autre qu’un digne successeur. Le Teammachine conserve toute sa réputation grâce à sa souplesse réduisant la fatigue, et à sa réactivité acérée. Mais il ne s’est pas reposé sur ses lauriers pour autant. Les améliorations apportées au vélo, notamment l’arrivée du passage de câbles en interne et une réduction significative du poids, sont considérables. Les victoires continuent de s’accumuler.Une machine à gagner, aux quatre coins du Monde
Il y a ensuite l’ère des freins à disque ; cette modification exige une réaction infaillible de nos concepteurs et ingénieurs. Leur mission : développer les performances des freins à disque tout en veillant à ce qu’ils fonctionnent harmonieusement avec l’intégralité de la machine. À nouveau, le Teammachine se révèle à la hauteur de ce défi, et le SLR V3 à disques est largement reconnu comme la parfaite incarnation de l’innovation.La philosophie du team
2021 Teammachine SLR - Une Nouvelle Décennie
2020 marque un nouveau chapitre pour l’histoire du Teammachine SLR.
Nous avons hâte de tourner cette page. Le futur prend de la vitesse.
Teammachine SLR